Fasciné par les civilisations anciennes, rêvées ou oubliées, les cartographies imaginaires retraçant les grandes routes migratoires, Arébénor Basséne présente dans son exposition une nouvelle série de toiles utilisant la technique du batik.
S’intéressant aux bijoux comme synthèse poétique, Mélinda Fourn présente dans son exposition « Dans le creux de la main » une nouvelle série de photographies et de sculptures multimédia, interrogeant la pérennité des savoir- faire artisanaux et la prolifération des gadgets technologiques à l’obsolescence programmée.
Dans « People come end ghost », Ibrahim Cissé plonge le public dans un ancien album de famille dont le récit, les images et les souvenirs des scènes évoquées sont transformés par une technique de détournement du négatif photographique par le biais du dessin et de la peinture. Cette première exposition de l’artiste à la galerie questionne l’expérience de la perte, des rêves et des trajectoires familiales transcontinentales.
Fascinated by dreamt up or forgotten ancient civilizations, imaginary mappings retracing the great migratory routes, Arébénor Basséne presents a new series of paintings using the batik technique.
Interested in jewelry as poetical synthesis, Mélinda Fourn presents « Dans le creux de la main » (In the palm of the hand), a new series of photographs and multimedia sculptures that address the sustainability of artisanal know-how and the proliferation of the planned obsolescence of technological gadgets.
In « People come end ghost », Ibrahim Cissé plunges the public into an old family album whose stories, images, and memories display scenes that are transformed by modifying photographic negatives through drawing and painting. With his first exhibition at the Selebe Yoon gallery, the artist examines loss, dreams, and transcontinental family trajectories.