Afrikadaa 2023

Depuis sa 1ère édition, le Partcours invite son public à découvrir la ville sous le prisme de l’art, en parcourant Dakar et sa banlieue de lieux d’exposition en lieux d’exposition.
Pour cette édition, AFRIKADAA, à travers sa fondatrice l’architecte Carole Diop, souhaite proposer au public de découvrir la ville d’une manière originale en proposant une balade historique et architecturale au cœur du Plateau. La ville devient ainsi un vaste espace d’exposition à explorer…

6 balades seront proposées sur réservation avec un nombre limité de 15 personnes.

Contactez Carole pour réserver ou pour vous informer sur les tarifs.

Since its first edition, Partcours has invited the public to discover the city through art by wandering through Dakar and its suburbs from exhibition venue to exhibition venue.
For this edition, AFRIKADAA, through its founder the architect Carole Diop, wants the public to discover the city in an original way, by offering historical and architectural strolls in the heart of the Plateau. The city will thus become a vast exhibition space to explore.…

6 strolls are available on reservation, with a limited number of 15 people per stroll:

Saturday, November 25th, from 3 p.m. to 6 p.m.
Sunday, November 26th, from 10 a.m. to 1 p.m.
Saturday, December 2nd, from 3 p.m. to 6 p.m.
Sunday, December 3rd, from 10 a.m. to 1 p.m.
Saturday, December 9th, from 3 p.m. to 6 p.m.
Sunday, December 10th, from 10 a.m. to 1 p.m.

Please contact Carole to book a stroll or for rates.

Galerie Arte 2023

Cheikh Keita est né à Saint-Louis du Sénégal et réside aujourd’hui aux USA. Il expose régulièrement sur les cimaises de la galerie Arte depuis une vingtaine d’année. Comme il ne se fixe aucune limite dans son processus de création, il se réinvente à chaque fois. Le nouveau vocabulaire de l’artiste explore l’inconscience onirique ; le visiteur contemplant ses œuvres se voit alors transporté dans un monde qui appartient au rêve. Il a voulu, à travers cette exposition, reconstituer un paradis perdu avec des personnages solitaires, souvent en posture de méditation, avec la nature comme guide.

Il présente une spatialité flottante, une palette douce, presque monochrome, rehaussée de quelques éléments végétaux de couleurs qui constituent le fond de scène de ses personnages rêveurs aux traits flous et évanescents. Son œuvre nous invite naturellement à lâcher prise et nous emmène au pays des songes…

Cheikh Keita was born in Saint-Louis, Senegal, and currently lives in the US. He has been regularly exhibiting his works in the Arte gallery for the past twenty years. He sets no limits to his creative process and reinvents himself every time. The artist’s recent artistic vocabulary explores dreamlike unconsciousness. The person contemplating his works sees themself transported into a world that belongs to the realm of dreams. Through this exhibition, the artist wants to reconstitute a lost paradise filled with solitary characters, often in a meditative posture, with nature as a guide.

He introduces a floating spatiality, a soft, almost monochrome palette, enhanced with a few colored plant elements which form the backdrop for his dreamy characters endowed with hazy and evanescent features. His work naturally invites us to let go and takes us into the land of dreams…

MUFEM 2023

Le Musée Henriette Bathily ouvre ses cimaises pour la première fois à Jendalma Art & Design, structure qui accompagne l’émergence d’artistes d’Afrique et de sa Diaspora. Son espace d’Art, situé aux Mamelles, comprend un atelier d’artiste et une galerie d’art contemporain (Kaay Séenu).

Cette collaboration porte sur une exposition inédite de photographies en noir et blanc des années 1950 jusqu’aux années 1980 du photographe Mr Pape Daouda Gueye.

L’artiste, âgé aujourd’hui de 96 ans, nous transporte dans la mémoire, le patrimoine de deux peuples frères, le Sénégal et la Gambie où il a vécu. La beauté et l’élégance de toute une génération transparaissent dans ses incroyables clichés pris dans ses studios respectifs « Étoile » à Banjul puis « Flash » à Dakar.

L’exposition dévoile une jeunesse d’avant et d’après les indépendances à la fois enracinée et ouverte sur le monde. Grand portraitiste, Pape Daouda a su capter une jeunesse africaine qui, à chaque génération, réinvente son identité à travers un style, une manière de s’habiller, une posture… toute une esthétique !

The Henriette Bathily Museum is opening its gallery to Jendalma Art & Design for the first time, a structure which supports the emergence of Artists from Africa and its Diaspora. Its art space, located in Les Mamelles, includes an artist’s studio and a contemporary art gallery (Kaay Séenu).

The collaboration is a unique exhibition of black and white photographs from the 1950s to the 1980s by photographer Pape Daouda Gueye.

The artist, now 96 years old, transports us into the memory and heritage of two brotherly countries, Senegal and Gambia, where he has lived. The beauty and elegance of an entire generation shine through his incredible photos taken in his respective studios: “Étoile” in Banjul and “Flash” in Dakar.

The exhibition unveils a youth from before and after the independence, both deeply rooted and open to the world. Pape Daouda is a great portraitist and was able to capture African youth who, with each generation, reinvent their identity through style, how they dress, posture… true aesthetics!

Institut Culturel Italien de Dakar 2023

Pour ce 12ème Partcours, l’Institut Culturel Italien souhaite rendre hommage à un acteur incontournable du milieu des Arts au Sénégal : Mauro Petroni. Arrivé pour la première fois au Sénégal dans les années 1970, installé définitivement en 1983, Petroni ne quittera plus le pays. Il exerce depuis 40 ans son activité de céramiste et d’activiste culturel à Dakar, dans un lieu de vie et de travail qu’il anime, l’Atelier Céramiques Almadies.

L’exposition « Petroni 40 » à l’Institut Culturel Italien présentera son œuvre dans une rétrospective d’archives liées aux réalisations majeures en céramique pour l’architecture, mais aussi aux souvenirs qui lui sont chers, émaillant l’espace urbain, visible ou invisible, d’une touche de formes et de couleurs. Le deuxième volet de l’exposition, consacré aux collections iconiques de ses créations en céramique, présentera aussi une série de collaborations avec des artistes qui l’ont accompagné, et sera visible dans le lieu de fabrication de ces œuvres, à l’Atelier Céramiques Almadies.

For the 12th edition of Partcours, the Italian Cultural Institute wishes to honor to a key player in the Senegalese Arts community: Mauro Petroni. Petroni arrived in Senegal for the first time in the 1970s, settled there permanently in 1983, and has never left. He has been working as a ceramist and cultural activist in Dakar for 40 years, in his living and working place, the Almadies Ceramic Workshop.

The “Petroni 40” exhibition at the Italian Cultural Institute will present his work through a retrospective of his collection, relevant to major achievements in ceramics for architecture, but also to through the memories that are dear to him, enameling the urban space, visible or invisible, tinted with shapes and colors. The second part of the exhibition, dedicated to the iconic collections of his ceramic creations, will also present a series of collaborations with the artists who have accompanied him, and will be visible in the place these works were created: the Almadies Ceramic Workshop.

Musée Théodore Monod d’art Africain IFAN / CAD 2023

Ré-imaginer le passé est un projet de LABoratoires et d’exposition qui se déroulera en 2023/2024 à Dakar et à Berlin. Développé et dirigé par une équipe de curatrices et de curateurs germano-sénégalaise : Isabel Raabe (Berlin), Mahret Ifeoma Kupka,(Francfort), Ibou C. Diop, (Berlin/Dakar), Malick Ndiaye (Dakar), le projet envisage de revisiter le passé pour se projeter vers d’autres futures possibles.

En se focalisant sur la colonialité de notre temps le projet propose d’imaginer et de négocier un avenir dans une perspective décoloniale, afin d’ouvrir la possibilité d’un autre savoir, d’autres récits et de nouvelles approches de la pensée. Ré-imaginer le passé fait partie de la série d’événements, résidences d`artistes et d’expositions Talking Objects Lab – Decolonizing Knowledge, qui se déroule depuis 2020 en Allemagne, au Sénégal et au Kenya. www.talkingobjectslab.org

L’exposition a été soutenue par la Fondation culturelle de l’Allemagne (Kulturstiftung des Bundes).

Episode 2: l’Ouverture

Dry Ocean

Dry Ocean (Océan aride) est un collectif transculturel d’artistes du Sénégal et d’Allemagne, qui explorent des idées liées au relationnel et à la pluralité du vécu.
Par son nom ambigu, Dry Ocean remet en question les notions terrestres de stabilité et de limitation, tout en chantant à la continuelle marée montante et descendante et au son rythmique des vagues s’échouant sur le rivage. En insistant sur le devenir et en définissant le processuel comme une manifestation du voyage partagé, Dry Ocean accepte lui-même d’être en mouvement et comprend le processus créatif comme étant organique et mutable.

Les œuvres d’art sont perçues comme des fragments émergeant de certaines expériences partagées, qui à leur tour sont capables de déclencher des expériences nouvelles, entraînant ainsi de nouveaux épisodes de Dry Ocean. Dans ce deuxième épisode, Dry Ocean présentera pour la première fois des œuvres conçues collectivement dans le cadre de Partcours.

Exposition dans les Jardins de l’IFAN avec la participation du Goethe-Institut Sénégal.

Re-imagining the past is a LABoratoires and exhibition project which will be held in 2023/2024 in Dakar and Berlin. Developed and directed by a team of German-Senegalese curators: Isabel Raabe (Berlin), Mahret Ifeoma Kupka, (Frankfurt), Ibou C. Diop, (Berlin/Dakar), and Malick Ndiaye (Dakar), the project considers revisiting the past to look towards different possible futures.

By focusing on the coloniality of our time, the project offers to imagine and negotiate a future from a decolonial perspective, to open up the possibility of a different type of knowledge, of different narratives, and of new approaches to thinking. Re-imagining the past is part of the Talking Objects Lab – Decolonizing Knowledge series of events, artist residencies, and exhibitions, which has been taking place since 2020 in Germany, Senegal and Kenya. www.talkingobjectslab.org

The exhibition was supported by the Cultural Foundation of Germany (Kulturstiftung des Bundes).

Episode 2: the Overture

Dry Ocean

Dry Ocean is a transcultural collective of artists from Senegal and Germany, who explore ideas associated with relationships and the plurality of experience.

Dry Ocean, with its ambiguous name, challenges earthly notions of stability and limitation, while singing to the continual rising and falling tide and the rhythmic sound of waves washing up on the shore. By emphasizing fate and defining the process as a manifestation of the shared journey, Dry Ocean accepts its own motion and conceives the creative process as something organic and mutable.

Works of art are seen as fragments emerging from shared experiences, which in turn are capable of triggering new experiences, thus leading to new episodes of Dry Ocean. In this second episode, Dry Ocean will present works created collectively for the Partcours for the first time.

Exhibition in the IFAN Gardens, with the participation of the Goethe-Senegal Institute.

Institut français du Sénégal à Dakar (Le Manège) 2023

Le titre de l’exposition fait référence à la démarche de Sembène Ousmane qui voyait le cinéma comme un « cours du soir » pour une partie de la population non scolarisée à laquelle il souhaitait s’adresser. Le cinéma comme système d’information populaire, comme lieu d’apprentissage, comme vecteur de liberté, de justice politique et sociale. Pour Cheikh Ndiaye, le cinéma c’est aussi le lieu physique de la résistance – sous Senghor, les trotskistes interdits de rassemblements publics tenaient leurs réunions après les séances de cinéma qu’ils étaient venus voir comme de simples spectateurs…

Le rapport à l’archive, au patrimoine, si cher à l’artiste (une première expérience à la Direction du Patrimoine fut suivie d’une vacation à l’IFAN, au Musée historique de Gorée, alors qu’il était aux Beaux-Arts) se retrouve dans ces toiles à la portée symbolique forte puisqu’elles représentent des cinémas qui n’existent plus, détruits ou transformés. Certaines d’entre elles sont montrées pour la première fois au Sénégal.

Cette exposition est la première monographie d’envergure de Cheikh Ndiaye dans son pays.

Avec le soutien de la Galerie Cécile Fakhoury à Dakar.

The name of the exhibition references Sembène Ousmane, who saw cinema as an “evening class” for parts of the unschooled population he was appealing to. Cinema as a public information system, as a place of learning, as a vector of freedom, political and social justice. For Cheikh Ndiaye, cinema is also a physical space of resistance – under Senghor’s presidency, the Trotskyists were banned from public gatherings and held their meetings after the movies they had come to watch as spectators…

The connection to history and heritage is very dear to the artist (a first experience at the Heritage Department was followed by a trip to the IFAN, to the Historical Museum of Gorée, while he was studying at the Beaux- Arts) and is seen in his strongly symbolic paintings, because they show movie theaters that no longer exist and that have been destroyed, or transformed. Some of his works are being shown in Senegal for the first time ever.

This exhibition is Cheikh Ndiaye’s first major monograph in his home country.

The exhibition is supported by the Cécile Fakhoury Gallery in Dakar.

Galerie Cécile Fakhoury 2023

L’exposition Oddyssey est un voyage au cœur de la question de la représentation et de la définition des identités. Entre tapisserie, sérigraphie et installation, Jess Atieno nous invite à plonger dans la fabrique des images ; qu’elles appartiennent à l’archive ou soient contemporaines, qu’il s’agisse de photographies, cartes, documents historiques ou éléments visuels issus de techniques et savoirs faires traditionnels.

Poursuivant ses recherches autour de la définition des notions d’endroit, de site et lieu d’appartenance compris comme relation fluide et en perpétuelle construction, Jess Atieno ouvre dans ses œuvres un espace liminal de transformation qui fait la part belle à l’hybridité et propose au spectateur des stratégies et des modèles de représentation alternatifs au sein du post-colonial. Au-delà de leur esthétique saisissante, les œuvres de Jess Atieno opèrent comme des propositions poétiques qui touchent autant à l’imaginaire qu’au politique.

The Oddyssey exhibition is a journey to the depths of representation and the definition of identities. With tapestry, silkscreen printing, and installations, Jess Atieno invites us to delve into image-making, whether historical or contemporary, with photographs, maps, historical documents, or visual elements resulting from traditional techniques and skills.

Jess Atieno continues her research around the definition of location, home, and place of belonging as a fluid relationship in perpetual construction, and through her works, she opens a liminal transformative space which honors hybridity and offers the spectator alternative strategies and representation within the post-colonial world. Beyond their striking aesthetic, Jess Atieno’s works are poetic propositions involving imagination as well as politics.

Espace Trames 2023

TOUKI TOUBAB est une histoire écrite par Pablito Zago lors de ses nombreux voyages. Il aborde la scène artistique par le street art et le graffiti en développant un style aux couleurs vives et aux contours inspirés de la bande dessinée. Entre le fond et forme, se dessine un contraste entre lignes légères et sujets complexes, entre naïveté et exubérance de son alter égo. Pablito Zago assume cette contradiction.

Ornementales, audacieuses et foisonnantes, les compositions de Zago nous invitent à une réflexion sur les éléments composant les récits contemporains à travers le monde. Son coup de cœur avec le Sénégal se précise lors de sa résidence à l’Agence TRAMES. Il réalise un carnet de voyage entre Dakar et ses régions, où illustrations en noir et blanc se mêlent à ses observations du milieu urbain et de la vie qui s’y déploie.

Avec son regard espiègle, rien ne lui échappe, pas même l’ironie de certaines situations.

TOUKI TOUBAB est un oeil décalé sur le monde.

TOUKI TOUBAB is a story written by Pablito Zago during his many travels. He approaches the art scene through street art and graffiti, developing a style filled with bright colors and outlines inspired by graphic novels. Between content and form emerges a contrast between thin lines and complex subjects, between naivety and the exuberance of his alter ego. Pablito Zago fully accepts this contradiction.

Ornamental, bold, and abundant, Zago’s compositions invite us to reflect on the elements that make up contemporary stories around the world. His love for Senegal awoke during his residency at Agence TRAMES. He creates a travel diary between Dakar and its regions, where black and white illustrations mingle with his observations of the urban environment and the life that unfolds there.

With his mischievous look, nothing escapes him, not even the irony of certain situations.

TOUKI TOUBAB is an offbeat eye on the world.

Studio Quatorzerohuit 2023

Gérard Gabayen, artiste plasticien, retrace les liens qui unissent l’homme et son environnement, voire son univers. Son expression abstraite, associant les lignes dynamiques, les coups de pinceaux à la fois calmes et vifs et les formes subtilement équilibrées, parle avec peu de mots mais avec beaucoup d’émotion. Ecologiste de nature, il fait intervenir souvent des matériaux de son environnement naturel qu’il récupère (fil de fer, toile de jute, papier recyclé, les bouts de bois).

Dans ses peintures exposées au Sénégal, Belgique, Allemagne, Maroc, Suisse, France, et aux Etats-Unis, il transmet une réflexion sur les relations entre l’être humain et la nature. Gabayen a fréquenté l’Ecole Nationale des Beaux-Arts à Dakar, Sénégal, de 1996 à 1998. Il vit et travaille au Sénégal.

Gérard Gabayen, a visual artist, connects the dots that unite man and his environment, and even his universe. His abstract expression, combining dynamic lines, calm yet lively brushstrokes, and subtly balanced shapes, speak to us with few words but with great emotion. As an ecologist, he often uses materials found in his natural environment (wire, burlap, recycled paper, pieces of wood).

In his paintings, exhibited in Senegal, Belgium, Germany, Morocco, Switzerland, France, and the United States, he conveys a reflection on the relationships between human beings and nature. Gabayen attended the Ecole Nationale des Beaux-Arts in Dakar, Senegal, from 1996 to 1998. He lives and works in Senegal.

Village des Arts de Dakar 2023

L’exposition Ubéku II est une aubaine qui marque à la fois le retour du village des arts de Dakar dans le Partcours après cinq éditions mémorables ainsi qu’un renouvèlement de la chaine des interactions entre créateurs d’art, donnant libre cours à de nouvelles inspirations artistiques. La Galerie Leopold Sédar Senghor reçoit ainsi les œuvres inédites d’artistes sénégalais non-résidents et une déambulation dans les ateliers ouverts à la découverte de créations récentes des résidents, une performance de l’école des sables ainsi que des ateliers d‘art (peinture, sculpture, céramique, DJ Set) pour enfants et adultes.

Les artistes invités partagent leurs préoccupations et espoirs, créant ainsi un témoignage vibrant de la diversité artistique au Village des Arts. Chaque artiste demeure marqué par son identité, par sa spécificité, et n’excluant pas, ni le dialogue, ni la complémentarité ; Ubeku nous invite à réfléchir, à ressentir, à dialoguer, soulignant notre humanité partagée et célébrant la diversité qui enrichit notre monde, ouvrant ainsi la voie vers un avenir plus inclusif et compréhensif.

The Ubéku II exhibition is a blessing which marks both the return of the Village des Arts Dakar to the Partcours after five memorable editions, as well as the renewal of interactions between art creators, giving free rein to new artistic inspirations. The Leopold Sédar Senghor Gallery hosts unpublished works by non-resident Senegalese artists and a stroll through the open workshops to discover recent creations by residents, a performance from L’École des Sables, as well as art workshops (painting, sculpture, ceramics, DJ Set) for children and adults.

The visiting artists share their sorrows and hopes, creating a vibrant testimony of artistic diversity at the Village des Arts. Each artist is marked by their identity and individuality, not excluding dialogue or complementarity. Ubeku invites us to ponder, to feel, to dialogue, highlighting our shared humanity and celebrating the diversity that enriches our world, thus paving the way towards a more inclusive and understanding future.